Les Scientifiques and Cie....
L’interprétation de la science
Ne pouvant qu’ajouter ou enlever, l’homme ne peut que composer à partir de
ce qui existe déjà. Et même s’il copie la nature, il ne peut nullement changer l’eau et
les sels de la terre en olives, ou en figues, ou en châtaignes, ou en pommes, ou autres
fruits. Personne ne peut créer cela, pourtant la Terre sait fort bien le faire. Elle
produit aussi toutes sortes d’arbres, de plantes, d’herbes, de fleurs et de grains ; ainsi
que des insectes, des poissons, des oiseaux, des reptiles, des quadrupèdes, d’autres
animaux, et des hommes. Elle engendre également les saisons, les pluies, les eaux
qui coulent et qui dorment ; car, telle une mère, elle procure aux êtres qu’elle enfante
tout ce qui est nécessaire à leur existence.
Les faux dieux
Mais les scientifiques, eux, dépourvus de respect et de conscience, élaborent
volontiers des machines de fer qui abattent les arbres, d’autres qui les broient et
détruisent leurs fruits avec les êtres qui s’en nourrissent ; d’autres encore qui
creusent la terre, la bouleversent, la défigurent et la polluent. Et ils n’hésitent pas à
créer d’effroyables maladies, des armes diaboliques et autres machines de guerre,
jusqu’aux armes nucléaires pour tout exterminer. Ils agissent ainsi, parce que leur
vanité est telle, qu’ils sont extrêmement jaloux d’être étrangers à la conception des
êtres que la Terre produit dans la perfection. C’est pourquoi, ils jettent l’effroi pour
être les maîtres du monde et tout changer à leur image, jusqu’aux hommes ; sinon il
leur est préférable de tout anéantir...
Se croyant fermement au-dessus du Créateur, et ne pouvant supporter plus
longtemps que la création ne sorte de leurs mains, ces hommes, qui se sentent à part
et supérieurs au reste de l’humanité, n’hésitent pas alors à changer la nature par des
manipulations de gènes, de cellules, ou d’embryons. Place ! Place ! Écartez-vous !
Écartez-vous ! Crient-ils à la foule, nous venons prendre en main la Terre entière et
toute la création pour corriger ses imperfections ! Nous allons changer les plantes,
les bêtes et les hommes pour tout améliorer, affirment-ils ! Mais quelles sont leurs
oeuvres ? En les observant attentivement, il apparaît qu’elles détériorent tout, en
créant la misère, ainsi que d’innombrables maladies et beaucoup de souffrance. A
cause d’eux, tout ce qui est naturel disparaît, et l’ordre originel est ébranlé.
Ils n’ont pas entendu que Dieu est jaloux des oeuvres qu’il a faites. Toutefois ils vont
l’entendre je vous le dis.
Mais pour s’imposer à la face du monde, ces fils de ténèbres, qui renient
l’Éternel, devaient se trouver un autre créateur convenant mieux à leur immense
vanité. Ils le cherchèrent et le trouvèrent dans un jeu de dés appelé : HASARD, et
l’imposèrent aux esprits. Celui-ci étant alors devenu le père de tout, il leur fallait une
mère ; ils se la firent avec l’ÉVOLUTION. Une raison à la vie s’imposait alors, ils la
trouvèrent dans la NÉCESSITÉ D’EXISTER. Ils devaient cependant concevoir un
commencement à l’univers, ils le façonnèrent avec l’EXPLOSION soudaine, à un
moment précis, d’une matière mystérieuse, existant de toute éternité et venant de
nulle part, qui ne pouvait errer plus longtemps dans l’espace sans limite. Mais, en
pensant que cette explosion extraordinaire et le chaos qui s’en suivit avaient donné
naissance aux galaxies bien ordonnées dans leurs mouvements et à tout ce qui s’y
trouve, ils étaient fort soucieux ; car, pour ne pas avoir inventé l’éternité avec leur
commencement de l’univers, il était urgent d’y trouver une fin...
Ils la cherchèrent de
tous côtés et finirent par la voir dernièrement dans leurs fameux TROUS NOIRS, qu’ils
ne localisent pas à l’intérieur de leur crâne toutefois mais à l’extérieur, dans l’espace,
et forcément loin d’ici, où ils avalent goulûment les galaxies qui ont assez duré. Où
peuvent-elles aller, s’interrogent-ils alors ? Ceux qui imaginent fort bien cela les font
passer dans un UNIVERS PARALLÈLE au nôtre. De quoi est-il fait ? D’ANTIMATIÈRE
évidemment ! répondent les plus rusés, qui utilisent ce subterfuge pour s’aménager
une sortie devant ceux qui les interrogent... Mais il leur fallait déterminer une
certaine durée à leur univers qu’ils limitent dans le temps. Aussi, avec beaucoup de
générosité, ils l’autorisèrent à vivre pendant VINGT MILLIARDS D’ANNÉES... Quinze
sont déjà passées, disent-ils...
Ainsi, ils ont créé un univers à leur image et dans les dimensions de leur
grandeur, et un univers particulier qu’ils se sont empressés d’enfermer dans leurs
lois, de peur qu’il n’en sorte. Puis ils enseignent ces inepties aux enfants, mais en
faisant d’abominables grimaces d’inquiétude toutefois, parce qu’ils savent fort bien
que des mensonges aussi énormes ne peuvent tenir longtemps. Ces hommes-là sont
dépourvus de raison ! Pourtant ils sont toujours interrogés et écoutés, parfois
vénérés... Ils tiennent ainsi le monde dans leur main.
La réalité
Si un rocher se détache de la montagne et roule jusque dans la plaine où il
s’arrête, peut-il se trouver ailleurs que là où il s’est arrêté ? Il ne le peut ; parce que sa
forme, son poids, son aspérité, sa place initiale, sa vitesse acquise ; ainsi que le relief,
la consistance du sol et tout ce qu’il a rencontré sur sa route n’ont pu le conduire
ailleurs, sinon il serait allé ailleurs. Il est donc forcé d’être où il se trouve. Si
maintenant on lance une poignée de petites boules en direction d’un trou dans
lequel l’une d’elles finit par tomber, celle-ci y tombera-t-elle par hasard ou parce
qu’elle y est également obligée ? Tout comme le rocher, elle ne peut aller ailleurs et
ne peut éviter de tomber dans le trou. Maintenant si l’on bâtit une maison, celle-ci
existe-t-elle par hasard ou par volonté pure ? Elle existe par volonté. Ces trois
exemples montrent à l’évidence que les choses sont obligées d’exister telles qu’elles
sont. Rien de ce que l’on voit ne peut être autrement ; sinon ce serait autrement, et
toujours obligé d’être tel quel.
L’interprétation de la science
Il est pour cela incontestable que chaque chose a une raison d’être, là-même
où elle se trouve, et que son existence est forcée – Le hasard n’existe donc en rien – Il
n’est pas une science, ni la Science, il n’est qu’un mot refuge et non une explication.
Mais puisque les savants l’invoquent pour tout et font cependant des oeuvres par
raison, des oeuvres pensées et réfléchies, comment ne s’aperçoivent-ils pas alors que
si c’est le hasard qui les a fait eux-mêmes, celui-ci est forcément intelligent ? Je le dis
différemment : puisqu’ils affirment être les fruits du hasard, alors que leurs oeuvres
sont les fruits de leurs réflexions, ne faut-il pas comprendre qu’à travers eux le
hasard se dote lui-même d’intelligence, de raison, de volonté et de desseins ? S’il
n’en est pas ainsi, alors il faut admettre que ces êtres hasardeux font des oeuvres par
hasard, c’est-à-dire sans réfléchir et sans but.
Aussi, que ce soit par leurs travaux ou
par leurs propos insensés, les scientifiques sont des êtres irresponsables, montrant
qu’ils sont fort dangereux. Ils doivent pour cela s’en aller avec tous ceux qui, comme
eux, ne saisissent pas que le hasard ne prend corps que dans l’esprit de celui qui ne
comprend pas ; et que c’est en raison de cette infirmité de conscience qu’il s’en fait sa
science, son refuge, son Dieu. Peut-il alors respecter la Terre et ses habitants ?
C’est pour ces raisons évidentes que Dieu a demandé à l’homme de ne point
manger l’arbre de la connaissance, car ceux qui le font avant l’heure veulent rivaliser
avec Lui. Ce qui est la pire chose qui puisse arriver à l’homme ; parce que, changer la
nature des choses et des êtres ébranle l’ordre originel et voue le monde à disparaître
– On ne peut pas domestiquer la Nature, on ne peut que la détruire – C’est pourquoi,
et bien que l’esprit puisse tout sonder jusqu’aux profondeurs de Dieu, la curiosité
humaine ne doit point amener à modifier ce par quoi l’on vit, comme le font avec
insolence ceux que vous connaissez. Sont-ils plus que le Créateur pour modifier ses
oeuvres ? Puisque l’homme n’a rien créé et qu’il existe lui-même indépendamment de
sa volonté, il ne doit en aucun cas transformer la Nature qui est la source de son être.
Car, la vie, c’est la conscience et l’amour des oeuvres de l’Éternel, ce n’est pas ce qui
les détruit.
Ne pouvant qu’ajouter ou enlever, l’homme ne peut que composer à partir de
ce qui existe déjà. Et même s’il copie la nature, il ne peut nullement changer l’eau et
les sels de la terre en olives, ou en figues, ou en châtaignes, ou en pommes, ou autres
fruits. Personne ne peut créer cela, pourtant la Terre sait fort bien le faire. Elle
produit aussi toutes sortes d’arbres, de plantes, d’herbes, de fleurs et de grains ; ainsi
que des insectes, des poissons, des oiseaux, des reptiles, des quadrupèdes, d’autres
animaux, et des hommes. Elle engendre également les saisons, les pluies, les eaux
qui coulent et qui dorment ; car, telle une mère, elle procure aux êtres qu’elle enfante
tout ce qui est nécessaire à leur existence.
Les faux dieux
Mais les scientifiques, eux, dépourvus de respect et de conscience, élaborent
volontiers des machines de fer qui abattent les arbres, d’autres qui les broient et
détruisent leurs fruits avec les êtres qui s’en nourrissent ; d’autres encore qui
creusent la terre, la bouleversent, la défigurent et la polluent. Et ils n’hésitent pas à
créer d’effroyables maladies, des armes diaboliques et autres machines de guerre,
jusqu’aux armes nucléaires pour tout exterminer. Ils agissent ainsi, parce que leur
vanité est telle, qu’ils sont extrêmement jaloux d’être étrangers à la conception des
êtres que la Terre produit dans la perfection. C’est pourquoi, ils jettent l’effroi pour
être les maîtres du monde et tout changer à leur image, jusqu’aux hommes ; sinon il
leur est préférable de tout anéantir...
Se croyant fermement au-dessus du Créateur, et ne pouvant supporter plus
longtemps que la création ne sorte de leurs mains, ces hommes, qui se sentent à part
et supérieurs au reste de l’humanité, n’hésitent pas alors à changer la nature par des
manipulations de gènes, de cellules, ou d’embryons. Place ! Place ! Écartez-vous !
Écartez-vous ! Crient-ils à la foule, nous venons prendre en main la Terre entière et
toute la création pour corriger ses imperfections ! Nous allons changer les plantes,
les bêtes et les hommes pour tout améliorer, affirment-ils ! Mais quelles sont leurs
oeuvres ? En les observant attentivement, il apparaît qu’elles détériorent tout, en
créant la misère, ainsi que d’innombrables maladies et beaucoup de souffrance. A
cause d’eux, tout ce qui est naturel disparaît, et l’ordre originel est ébranlé.
Ils n’ont pas entendu que Dieu est jaloux des oeuvres qu’il a faites. Toutefois ils vont
l’entendre je vous le dis.
Mais pour s’imposer à la face du monde, ces fils de ténèbres, qui renient
l’Éternel, devaient se trouver un autre créateur convenant mieux à leur immense
vanité. Ils le cherchèrent et le trouvèrent dans un jeu de dés appelé : HASARD, et
l’imposèrent aux esprits. Celui-ci étant alors devenu le père de tout, il leur fallait une
mère ; ils se la firent avec l’ÉVOLUTION. Une raison à la vie s’imposait alors, ils la
trouvèrent dans la NÉCESSITÉ D’EXISTER. Ils devaient cependant concevoir un
commencement à l’univers, ils le façonnèrent avec l’EXPLOSION soudaine, à un
moment précis, d’une matière mystérieuse, existant de toute éternité et venant de
nulle part, qui ne pouvait errer plus longtemps dans l’espace sans limite. Mais, en
pensant que cette explosion extraordinaire et le chaos qui s’en suivit avaient donné
naissance aux galaxies bien ordonnées dans leurs mouvements et à tout ce qui s’y
trouve, ils étaient fort soucieux ; car, pour ne pas avoir inventé l’éternité avec leur
commencement de l’univers, il était urgent d’y trouver une fin...
Ils la cherchèrent de
tous côtés et finirent par la voir dernièrement dans leurs fameux TROUS NOIRS, qu’ils
ne localisent pas à l’intérieur de leur crâne toutefois mais à l’extérieur, dans l’espace,
et forcément loin d’ici, où ils avalent goulûment les galaxies qui ont assez duré. Où
peuvent-elles aller, s’interrogent-ils alors ? Ceux qui imaginent fort bien cela les font
passer dans un UNIVERS PARALLÈLE au nôtre. De quoi est-il fait ? D’ANTIMATIÈRE
évidemment ! répondent les plus rusés, qui utilisent ce subterfuge pour s’aménager
une sortie devant ceux qui les interrogent... Mais il leur fallait déterminer une
certaine durée à leur univers qu’ils limitent dans le temps. Aussi, avec beaucoup de
générosité, ils l’autorisèrent à vivre pendant VINGT MILLIARDS D’ANNÉES... Quinze
sont déjà passées, disent-ils...
Ainsi, ils ont créé un univers à leur image et dans les dimensions de leur
grandeur, et un univers particulier qu’ils se sont empressés d’enfermer dans leurs
lois, de peur qu’il n’en sorte. Puis ils enseignent ces inepties aux enfants, mais en
faisant d’abominables grimaces d’inquiétude toutefois, parce qu’ils savent fort bien
que des mensonges aussi énormes ne peuvent tenir longtemps. Ces hommes-là sont
dépourvus de raison ! Pourtant ils sont toujours interrogés et écoutés, parfois
vénérés... Ils tiennent ainsi le monde dans leur main.
La réalité
Si un rocher se détache de la montagne et roule jusque dans la plaine où il
s’arrête, peut-il se trouver ailleurs que là où il s’est arrêté ? Il ne le peut ; parce que sa
forme, son poids, son aspérité, sa place initiale, sa vitesse acquise ; ainsi que le relief,
la consistance du sol et tout ce qu’il a rencontré sur sa route n’ont pu le conduire
ailleurs, sinon il serait allé ailleurs. Il est donc forcé d’être où il se trouve. Si
maintenant on lance une poignée de petites boules en direction d’un trou dans
lequel l’une d’elles finit par tomber, celle-ci y tombera-t-elle par hasard ou parce
qu’elle y est également obligée ? Tout comme le rocher, elle ne peut aller ailleurs et
ne peut éviter de tomber dans le trou. Maintenant si l’on bâtit une maison, celle-ci
existe-t-elle par hasard ou par volonté pure ? Elle existe par volonté. Ces trois
exemples montrent à l’évidence que les choses sont obligées d’exister telles qu’elles
sont. Rien de ce que l’on voit ne peut être autrement ; sinon ce serait autrement, et
toujours obligé d’être tel quel.
L’interprétation de la science
Il est pour cela incontestable que chaque chose a une raison d’être, là-même
où elle se trouve, et que son existence est forcée – Le hasard n’existe donc en rien – Il
n’est pas une science, ni la Science, il n’est qu’un mot refuge et non une explication.
Mais puisque les savants l’invoquent pour tout et font cependant des oeuvres par
raison, des oeuvres pensées et réfléchies, comment ne s’aperçoivent-ils pas alors que
si c’est le hasard qui les a fait eux-mêmes, celui-ci est forcément intelligent ? Je le dis
différemment : puisqu’ils affirment être les fruits du hasard, alors que leurs oeuvres
sont les fruits de leurs réflexions, ne faut-il pas comprendre qu’à travers eux le
hasard se dote lui-même d’intelligence, de raison, de volonté et de desseins ? S’il
n’en est pas ainsi, alors il faut admettre que ces êtres hasardeux font des oeuvres par
hasard, c’est-à-dire sans réfléchir et sans but.
Aussi, que ce soit par leurs travaux ou
par leurs propos insensés, les scientifiques sont des êtres irresponsables, montrant
qu’ils sont fort dangereux. Ils doivent pour cela s’en aller avec tous ceux qui, comme
eux, ne saisissent pas que le hasard ne prend corps que dans l’esprit de celui qui ne
comprend pas ; et que c’est en raison de cette infirmité de conscience qu’il s’en fait sa
science, son refuge, son Dieu. Peut-il alors respecter la Terre et ses habitants ?
C’est pour ces raisons évidentes que Dieu a demandé à l’homme de ne point
manger l’arbre de la connaissance, car ceux qui le font avant l’heure veulent rivaliser
avec Lui. Ce qui est la pire chose qui puisse arriver à l’homme ; parce que, changer la
nature des choses et des êtres ébranle l’ordre originel et voue le monde à disparaître
– On ne peut pas domestiquer la Nature, on ne peut que la détruire – C’est pourquoi,
et bien que l’esprit puisse tout sonder jusqu’aux profondeurs de Dieu, la curiosité
humaine ne doit point amener à modifier ce par quoi l’on vit, comme le font avec
insolence ceux que vous connaissez. Sont-ils plus que le Créateur pour modifier ses
oeuvres ? Puisque l’homme n’a rien créé et qu’il existe lui-même indépendamment de
sa volonté, il ne doit en aucun cas transformer la Nature qui est la source de son être.
Car, la vie, c’est la conscience et l’amour des oeuvres de l’Éternel, ce n’est pas ce qui
les détruit.